La classe capitaliste nous fait la guerre, faisons la guerre au capitalisme!


Méthodiques, ils rasent, ils détruisent, ils tuent systématiquement.
Ils exploitent et ils essorent jusqu’à la dernière goutte, nous écrasent et nous condamnent à travailler jusqu’à crever.

Travailler? Travailler pour marcher. Marcher? Ils velent nous faire marcher jusqu’à crever, pour leurs guerres impérialistes, pour leur projet de société fasciste, pour qu’on accuse les musulman·es et les chômeur·ses, qu’à la frontière on pourchasse les migrant.es. Qu’on serve la soupe aux patrons pendant que les nôtres meurent dans l’ombre. Qu’on garde les yeux bien clos.

Ils augmentent les prix du nécessaire: bouffe, soin, logement… pendant qu’ils éclatent au pied de biche ce qui reste de solidarité des luttes ouvrières.
ils privatisent et démantèlent nos services sociaux, car “y’a plus d’argent”, sauf celui pour financer leur guerre et leurs excès et détruire la terre.

Ils veulent qu’on marche au pas. Qu’on meure pour qu’ils se fassent du fric. Toujours plus de fric et construire à Gaza une “riviera”.

Mais comme en Palestine, en Kanaky, en Serbie, au Congo, au Kurdistan, aux Philippines… comme partout où nos camarades résistent: nous refusons le destin funeste que nous ont réservé les puissants et les possédants, la bourgeoisie et son impérialisme. Nous résistons.

Et, comme à chaque fois qu’ils ont voulu nous faire marcher, nous clamons que cette fois sera la dernière! Que cette fois: on ne se laissera pas faire! Et que s’ils veulent vraiment nous faire faire la guerre ?! Eh bien, ils l’auront.

Son seul et unique prix, sera celui de leur défaite et de notre libération.

Nous sommes révolutionnaires, car nous voulons vivre dignement et nous savons qu’une telle façon de vivre, jamais la bourgeoisie ne nous l’offrira. Nous devons la lui prendre. Pas la “diginité” individuelle des bourgeois qui écrasent les autres. Pas la “dignité” de l’extrême-droite et du suprémacisme qui hiérarchisent les vies et les annihilent.

Non. nous, nous voulons vivre dignement, mais la vraie “dignité”: celle fondée sur la solidarité. Celle des corps qui s’entraident, qui tombent et se relèvent, qui combattent ensemble pour plus qu’il n’y d’opprimé·es, de colonisé·es et d’exploité·es.

Pour tout cela, nous devons oeuvrer à leur chute.

1er MAI TOUTE L’ANNÉE, JUSQU’À CE QUE NOUS MARCHIONS SUR LES RUINES DE L’IMPÉRIALISME!